Baleine à Bec de Layard

Longueur maximale femelles : 6,2 m
Longueur maximale mâles : 5,9 m
Poids maximal des adultes : 1,4 tonne
Longueur à la naissance : 3 mètres



Les adultes sont principalement noirs avec parfois des tâches grises et du blanc qui se définie en grande partie vers les côtés génitaux, autour de l'avant de la mâchoire supérieure, de la mâchoire inférieure, de la gorge et du cou. Il y a une flamme grise du melon presque à deux-tiers de la manière à la dérive dorsale. Les dents, présentes chez les mâles seulement, s'étendent de la mâchoire inférieure à la courbe au-dessus du supérieur, l'empêchant de s'ouvrir entièrement. Ceci, cependant, ne semble pas interférer l'alimentation. La plus longue femelle enregistrée a mesuré 6.1m, alors que le plus long mâle atteignait 5.8 m (salle 2001).



L'espèce vit dans les eaux tempérées froides et a été vue dans le Pacifique et l'océan Indien.





Une des plus grande des baleines à Bec, la baleine à bec de Layard est également l'une des quelques espèces de Mesoplodon qui peuvent être aisément identifiées en mer. On le voit rarement dans la nature sauvage, où il peut se doré calmement à la surface , pendant les jours ensoleillés. Généralement il est difficile d'approcher les animaux, particulièrement avec de grands navires. Leurs ailerons ne se montrent pas au-dessus de la surface au début d'une plongée. Les observations limitées suggèrent que les baleines à bec de Layard descendent lentement sous la surface, créant à peine une ondulation, puis soufflent encore toutes les 150-200 m . Le temps typique de plongée est de 10 à 15 minutes (Carwardine, 1995).





Le régime alimentaire des baleines à bec de Layard ont été examinées en détail par Sekiguchi et autres (1996) en examinant le contenu de l'estomac de 14 baleines échouées trouvées sur les côtes du sud d'Africain et de la Nouvelle Zélande. Bien que quelques restes non identifiés de poissons et restes crustacéens aient été trouvés dans deux de ces estomacs, 24 espèces des calmars océaniques (dont certains se produisent à une grande profondeur) ont représenté 94.8% de leurs proies habituelles. Les espèces de Histioteuthis et le pavo de Taonius étaient les espèces prédominantes. La présence des espèces secondaire-Antarctiques de calmar a suggéré une migration du nord aux eaux africaines Du sud pendant l'été/Automne. Sekiguchi et autres (1996) ont également comparé des tailles de proie entre les mâles avec les grandes dents entièrement développées et les mâles immatures ainsi que les femellles sans dents. Bien que les mâles matures aient mangé de plus longs calmars que des mâles immatures, il n'y avait aucune différence significative dans les poids estimés de calmars mangés par les deux groupes. La présence des deux dents très grandes chez les mâles adulte, n'a pas semblé influencer la taille de la proie ingérée, quoiqu'un mâle d'adulte pourrait seulement ouvrir ses mâchoires d'environ la moitié de l'ouverture totale des mâchoires des femelles.

SOURCES : textes traduits par moi, du site : http://www.cms.int/reports/small_cetaceans/data/m_layardii/m_layardii.htm
Infos sur les chiffres à partir de mon livre : "baleines et dauphins" de Maurizio Wurtz et Nadia Repetto, Editions Grunds.

SOURCES images :
http://www.cms.int
http://www.orcaweb.org.uk
http://www.worldlandtrust.org